Mercredi 6 janvier 2021

Industrie

Code 3

0.52€/kg emballé départ

Nous sommes sortis de la période des fêtes mais  le marché est toujours en train de digérer !

les stocks ont continué à s’accumuler à tous les stades : dans les élevages , chez les négociants et chez les utilisateurs.

Les acheteurs vont commencer par utiliser ce qu’ils ont à disposition avant de faire appel au marché. 

La production est par ailleurs très importante et la seule solution pour sortir de cette crise est de diminuer les volumes ,  il faut réformer!!!

Nos voisins européens , toujours présents , sauvent la mise tant au niveau des prix qu’au niveau de l’écoulement des stocks.

 

Alternatifs

code 2 : 0.77€/kg

code 1 : 0.82€/kg

Les affaires restent difficiles avec des prix largement au dessous des prix de revient.

Les industriels on peu de possibilité d’achat en code 2 mais ont quelques possibilités en code 1 ; la seule difficulté , c’est le prix . Le marché est au moins 20% au dessous du prix de revient ; les vendeurs préfèrent patienter plutôt que de trop sacrifier sur le prix.

 

Consommation

Code 3

0.70€/kg emballé départ

comme chaque année après la période des fêtes , les centres de conditionnement sont aux abonnés absents.

La marchandise offerte se retrouve proposée à  l’industrie et vient encombrer ce marché ; les œufs partent à des prix largement inférieurs à ceux affichés.

Le code 3 prend encore un coup et la mutation va devoir se poursuivre.

Nos voisins européens achètent mais à des prix proches de ceux de l’industrie qui contribuent à une nouvelle baisse du marché.

 

Alternatifs

code 1 : 7.40€/kg

code 2 : 7.60€/kg

code 0 : 15.80€/kg

le marché est au point zéro comme pour toutes les  catégories , la seule solution pour le trop plein restant l’industrie.

La situation de confinement des volailles  (influenza aviaire touchant plutôt les volailles de chair) conduit certains acheteurs en code 0 et en code 1 à ne plus honorer leurs contrats ou a proposer de les transformer en code 2. Dans cette situation de prix de revient élevés (hausse toujours forte des aliments) , les vendeurs n’y trouvent évidemment pas leur compte!

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