Industrie
Code 3
0.73€/kg
Le marché est fluide.
L’impact de la crise sanitaire belge est pour l’instant sans vraies conséquences sur le marché et peu de nouvelles informations filtrent sur la situation.
Le marché est plus sous l’influence d’une offre modérée et d’un marché consommation qui absorbe un peu plus de marchandise qu’il n’en absorbait les semaines passées.
Nos voisins étrangers ont une situation similaire à la notre ce qui permet à l’occasion quelques échanges sans que ceux ci aient une vraie influence sur le niveau du marché
Alternatifs
Sur ces productions aussi, le marché est atone.
Peu d’offres et peu de demandes sinon les affaires courantes
Les oeufs de code 2 se vendent à 0.96€/kg
Les oeufs de code 1 se vendent autour de 1.00€/kg et bénéficient d’un regain d’intérêt de la consommation.
Consommation
Code 3
0.82€/kg emballé départ
Lorsque l’écart de prix entre l’industrie et la consommation est raisonnable (autour de 0.10€/kg), les centres de conditionnement se retrouvent sur le marché spot. Sans doute toujours insuffisamment pour absorber toute l’offre et voir le marché reprendre des couleurs. Il faut remarquer que ce marché reste à un bon niveau de prix pour un mois de Mai et pour une période avec à nouveau deux semaines perturbées par des jours fériés.
La période de ramadan a une influence assez importante sur la demande en code 3 oeufs petits et moyens ; ces achats sont cependant conditionnés par un niveau de prix acceptable.
Alternatifs
Par des réformes et des reports de mise en place , le marché , en particulier en ce qui concerne le code 1 s’est assaini.
Le coup de semonce doit cependant éclairer les opérateurs : ces marchés valorisés ne supportent pas le trop plein et , autant pour le code 1 et surtout pour le code 0 , l’offre doit en permanence s’adapter à une demande rapidement saturée!
Les oeufs de code 2 se vendent à 7.50€/100
Les oeufs de code 1 se vendent à 8.10€/100
Toujours la même confusion dans le code 0 ou certains opérateurs , ayant épuré leurs cheptels sont à nouveau demandeurs mais ou d’autres subissent encore de plein fouet une surproduction toujours impossible à valoriser